À propos de la silice

De nombreuses recherches récentes sur l’action de la silice dans le monde végétal traduisent son importance et viennent compléter les connaissances sur cet élément qui avait été qualifié par Nicolaus Remer dans son livre « Substanzen in Lebenszusammenhang der Landwirtschaft » d’élément oublié de l’agriculture.

Jean-Georges Barth

Biographie

Jean-Georges Barth explore de nombreuses publications universitaires récentes qui confirment les intuitions de Steiner issues de la recherche spirituelle.

Biologiste et botaniste né en 1943 à Strasbourg. Pharmacien (Strasbourg 1967), études de biochimie, d’immunologie et d’hématologie (Strasbourg de 1968 à 1970) ; biologiste des Hôpitaux à partir de 1970 (Centre Hospitalier Général de Sarrebourg jusqu’en 1996, puis celui de Montbéliard jusqu’en 2006) ; docteur ès sciences pharmaceutiques (Strasbourg 1987, thème de microbiologie); de 2000 à 2006, enseignement de botanique morphologique et systématique dans le cadre du diplôme universitaire de médecine naturelle (vacataire à l’université Paris XIII) ; études méthodologiques et pratiques de la cristallisation du chlorure cuivrique en couche mince en présence d’additif (publications de 1985 à 2019) ; depuis de nombreuses années études botaniques selon la méthode phénoménologique goethéenne en lien avec les savoirs anthroposophiques et universitaires; membre de la société anthroposophique depuis 1977.

Le silicium, l’élément longtemps oublié des plantes terrestres

par Jean-Georges Barth

Le rôle de la silice a été longuement décrit par Rudolf Steiner dans le « Cours aux agriculteurs » et dans les conférences aux médecins. La silice a été ensuite « l’élément oublié de l’agriculture » comme l’exprime si bien Nicolaus Remer dans son livre sur les substances : « Substanzen im Lebenszusammenhang der Landwirtschaft » . Aujourd’hui de très nombreuses recherches scientifiques montrent l’intérêt de la silice en agriculture.

Le silicium

Recherche sur la silice et silice de corne – 501

par Jean-Georges Barth

La question était de savoir si la méthode de cristallisation avec additif était adaptée d’une part pour distinguer la silice brute issue de broyage de cristaux de quartz et la substance de même origine ayant séjourné dans une corne de vache placée dans le sol durant 6 mois pendant la période estivale (Silice de corne – 501), et d’autre part pour apprécier la capacité de vieillissement de la préparation.

Recherches sur la silice et silice de corne – 501